RÉFLEXION : Vanité des vanités,  l'Homme n'est que vanité. 

L'Ecclésiaste disait "Vanité des vanités, dit l`Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité." (Ecclésiaste 1:2)

Lorsque nous regardons l'Homme qui se prend pour quelque chose, il n'est que vanité. 

Il a été d'abord manifesté en dernière position, le sixième jour,  après que tout ce qui existe ait été mis sur pied pendant les cinq premiers jours de la création., le septième jour ayant été réservé au repos du créateur.
L'Homme est donc dans son essence le cadet, c'est-a-dire le petit frère de toutes les autres créature de Dieu. Les arbres, les animaux, les poissons, les luminaires, la création en un mot  sont les grands frères de l'Homme.  
 La Sagesse et la Bible nous parlent du respect du droit d'ainesse.  Mais à la réalité,  l'Homme foule cette vertu au pied à cause de son orgueil.  il pille et détruit ses forêts pour ses seuls intérêts et menace lui-même son existence. Nous allons bientôt, manquer d'oxygène à cause de toi.  Sache oh Homme que les arbres t'accuseront devant Dieu. De même,  aussi tous les actes de destruction de la nature que tu perpetue quels qu'ils soient, parleront contre toi un jour 

L'Homme est prêt a détruire sa santé pour la recherche effrénée des moyens matériels et fianciers, puis il est encore prêt à utiliser les mêmes moyens pour rechercher encore sa santé perdue. Quelle folie.

Il  gonfle croyant être quelque chose à cause de son trop de connaissance, de sa beauté physique,  de son confort financier, de son rang social., de toutes ses possessions mais il n'est que poussière.

Une simple aiguille rouillée ou pas lui ôte la Vie; un virus infiniment plus petit que lui, invisible même aux microscopes les plus sophistiqués qu'il a inventé, le renvoie a deux mettre sous terre. La plus petite arrête d'un poisson qu'il est en train de manger lui coupe le souffle. Quelle fragilité et quelle faiblesse pour une créature apparemment si imposante ?

Quand il est vivant venez l'entendre, il se passe pour un donareur de vie. Venez contemplez sa vanité lorsque ce petit soufle l'a quitté. Les vivants veulent très vite se débarrasser de ce colis encombrant qui leur parle en leur disant : "  Voici votre véritable personnalité et votre véritable position, ce n'est qu'une question de temps. A qui le tour ".

Et quand cela arrive mesdames et messieurs les vivants pour qui il a travaillé commence alors le partage de ce que leur a produit leur ouvrier, après l'avoir remis à la terre qu'il a passé le temps à exploiter et qui à finalement raison de lui. Et lui il part seulement avec ce qui est sur lui pour entrer avec tout cela dans la porriture qui commence trois jour après son ensevelissement.  Il n'emporte rien 
Mesdames et messieurs posons nous la question : " Finalement pour qui travaillons nous? Pour qui faisons tout ce que nous faisons." Tout finalement n'est que poursuite du vent disait encore l'Ecclesiaste.  
       Frère Aaron BITEB 
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